Vous partez bientôt sur les îles Chausey en Normandie et vous ne savez pas quoi faire sur place ? Voici un itinéraire dont vous pouvez vous inspirer pour préparer votre séjour sur les îles Chausey. Je partage sur le blog les choses incontournables à faire et à voir sur les îles Chausey en 1 jour. Suivez le guide ! Direction la Normandie. Pour être plus précis la Manche. J’ai évoqué ces escapades à plusieurs reprises sur le blog mais je n’avais pas encore eu l’occasion de vous en parler en détails. Il s’agit ici du premier article d’une série d’articles sur mes escapades à Granville et sur les îles Chausey. Pour ceux qui étaient déjà la en 2016, j’avais évoqué comment en deux temps en trois mouvements j’ai décidé de cette escapade à Granville et aux îles Chausey. Oublié Marseille ou encore les Cinque Terre trop chers pour mon budget et surtout à 1 semaine du départ ! Pas grave car j’ai trouvé des endroits magnifiques dans la Manche. Endroits dont je ne soupçonnais pas même une minute l’existence. Vous venez ? Je vous emmène à la découverte des îles Chausey. Visiter une île normande pour la première fois ce fut mon cas à cette occasion. Cela a été une réussite totale. Que faire sur les îles Chausey en 1 jour ?Je vous raconte dans cet article ma journée sur les îles Chausey de juillet 2016. Une journée sur les îles Chausey au départ de Granville mon itinéraire Départ de la Gare Montparnasse à Paris pour rejoindre Granville puis le bateau pour les îles Chausey Pour atteindre ces lieux magnifiques, direction la gare Montparnasse à Paris. Il y a environ 1 train par heure . Mais attention, le départ se fait de Montparnasse 3. Oui oui. Mois je prenais mon temps comme d’habitude. A 7 minutes du départ, je me réveille. Et la je ne vois pas mon numéro de quai . Normal les trains vers la Normandie dans cette gare se font d’un autre hall distant de quasi 10 minutes du départ des trains principaux. Ouille j’ai failli rater mon train. Ensuite, vous arriverez à Granville au bout de 3h20 de trajet environ. N’ayant que 2 jours sur place, j’avais décidé de consacrer un jour aux îles Chausey et 1 jour à Granville. J’étais logé à l’auberge de jeunesse de Granville, située à quelques minutes de la gare. C’est à la gare maritime de Granville que j’ai acheté mes billets pour les îles Chausey euros l’aller /retour. Une boutique dans le centre ville vend également des billets. Il y a 52 îles à marée haute et 365 à marée basse. La grande île se trouve à environ 17 kms de Granville. Suivant la météo, le trajet dure environ 45 minutes. Il faut savoir que cet archipel est un des plus grands d’ Europe. C’était assez calme lorsque j’y suis allée ce jour la. C’était début juillet un jour de semaine. La saison venait de commencer. Les îles Chausey, véritable paradis dans la Manche Visiter les îles Chausey en Normandie les choses à faire et à voir absolument Honnêtement jusqu’à quelques semaines avant mon départ, je n’avais jamais entendu parlé de ces îles. Un jour, par hasard, au gré de mes lectures, j’avais découvert l’existence de ces îles en Normandie. Et franchement ce fût le coup de foudre immédiat. La grande île peut être visiter à pied. C’est ce que j’ai fait à chacune de mes visites, aussi bien en juillet qu’en août. Visiter les îles Chausey les incontournables de cette île normande Sympa la colonie sur l’île je trouve. J’avais rencontré ces écoliers sur le ferry qui nous a amené sur l’île. J’ai craqué sur ces maisons. Cela se voit ? Tellement de photos. Hi hi limite une fixette. La on se dit mais pourquoi aller dans le sud , le paradis existe ici dans la Manche. On se dit toujours que cela ne peut être que dans le sud où on peut trouver des eaux cristallines. Faux archi faux la preuve ici. J’ai eu un temps magnifique cette journée sur l’île. Y en a qui s’amusent bien j’ai l’impression. L’avantage de venir en semaine c’est que vous n’êtes pas collé les uns aux autres. Pas mal le bon plan non ?? Cette île compte 6 plages dont 3 consacrés à la baignade. J’ai pris mon temps lors de cette journée à visiter les îles Chausey. Me promener à travers cette île. Je n’avais pas d’impératifs pendant cette journée. J’ai pris mon temps pour me promener dans l’île à pied. A noter qu’il n’y a qu’un seul restaurant sur l’île. Vous le trouverez non loin du lieu de l’embarcation. A côté un petit snack qui fait tabac presse. Si vous le désirez , un petit pique-nique peut être très agréable. Je le redis nous sommes en Normandie ici. Ce ne ressemble pas au paradis franchement ?? De belles balades sont possibles ici. Le niveau n’est pas élevé, cela tombe bien. Je ne suis pas une grande sportive. Quelques maisons sont dispersées ici et la autour d’un village avec de charmantes petites maisons. L’ île dispose aussi de gîtes. Au cas où vous voudriez rester plus longtemps sur l’île. Le fort a été construit au XIX ème siècle. Je ne sais pas pour vous mais je trouve le coin très charmant, vraiment paisible. On peut accéder à un panorama superbe au gré de ses balades. J’avoue que je ne m’attendais pas à un tel spectacle. Epoustouflée par le paysage de l’île. C’est ça la Manche. La Normandie vous imaginiez une telle vue quand on vous dit Normandie. Il y a bien sûr une petite chapelle sur l’île. Sur l’île au gré de la balade, vous pourrez découvrir le phare de l’île ou encore le fort et le sémaphore. Pas de risque de se marcher sur les pieds avec les autres touristes. J’avais l’impression d’avoir l’ île rien que pour moi. Je découvre les chemins de campagne de l’île. Cela cogne dur ce jour la. 25 degrés sous le soleil. Pas mal. Attention, je ne me plains pas. Je ne dénonce pas mais je connais une personne qui ne voulait pas venir avec moi. Ah la Normandie il ne va pas faire beau. Bla bla bla. Il y a de belles balades à faire sur les îles Chausey. J’ai eu raison de suivre mon instinct. Beau temps durant ces 2 jours dans la Manche. Le château de l’île a été restauré dans les années 20 par Louis Renault. Il avait été construit en 1529. Mais on ne peut pas le visiter. La grande île accueille 200 000 visiteurs en haute saison. Pendant l’hiver, c’est seulement une dizaine de personnes qui y vivent. A savoir la camping n’est pas possible sur les îles. Il est l’heure de rentrer à Granville après cette journée sur l’île. Journée très ensoleillée comme tout ce week-end d’ailleurs. Vous comprenez pourquoi j’ai eu un tel coup de coeur pour les îles Chausey. Les îles Chausey spots à ne pas manquer lors de votre journée Les plages Le Phare Le Semaphore Le Chateau Le fort Combien de temps rester sur les îles Chausey ? Lors de mes deux week-ends à Granville et sur les îles Chausey, j’ai passé à chaque fois une journée sur les îles Chausey. Et je n’ai pas été frustrée. Il est bien sûr possible d’y rester plus longtemps. Cela sera le moyen de déconnecter un maximum. Visiter les îles Chausey en Normandie infos pratiques Visiter les îles Chausey en Normandie comment rejoindre les îles Chausey ? Pour rejoindre les îles Chausey, pas le choix, il vous faudra prendre le bateau. La traversée se fait depuis la ville de Granville charmante station balnéaire à quelques minutes. Où loger sur les îles Chausey ? Si vous souhaitez rester plusieurs jours sur les îles Chausey, il vous faudra choisir un logement. Vous avez le choix entre l’hôtel du fort et des îles, les Gites de la ferme et les gites communaux. Je n’ai pas le loisir de les tester étant donner que pour mes deux visites sur les îles Chausey. Je suis repartie le soir. Pour la petite histoire , des photos j’en avais encore plus mais il a fallut faire un choix au risque d’avoir un article avec 200 photos hi hi. J’espère que cet article vous aura plu. On se retrouve dans quelques jours pour la suite de mon week-end. L’article sera consacré à la ma journée à visiter Granville. Avez-vous déjà visité une île normande ? Connaissiez vous ces îles normandes ? Avez-vous envie de visiter les îles Chausey désormais ?

Jerseysont accessibles de St Malo et Granville (liaisons directes) et Guernesey de Diélette (liaisons directes) Sark (Sercq) est accessible depuis Jersey ou Guernesey (liaisons directes), et de St Malo (via Guernesey) ou de Granville (via Jersey) IMPORTANT

​Nous sommes heureux de recevoir les propriétaires de bateaux visiteurs et leurs équipages dans nos bassins de plaisance de St Hélier qui bénéficient du label 5 Ancres d’Or, une distinction internationalement reconnue comme un gage de qualité. Nous faisons tout pour satisfaire vos attentes au cours de votre séjour à Jersey, qu’il s’agisse pour vous d’une simple visite de la ville ou bien d’une découverte approfondie de tout ce que l’île de Jersey recèle de merveilleux et d’inattendu. Profitez-en! Pourquoi visiter Jersey?Vous trouverez ici tout ce que Jersey peut offrir, y compris des suggestions de lieux à visiter et les activités que vous pouvez pratiquer. Services offerts par la marina de St HélierRenseignez-vous sur le port de plaisance de St Hélier, pour réserver un emplacement, effectuer l’avitaillement en carburants, connaître les conditions d’accès et de sécurité. Approches maritimes du port de plaisance de St HélierTout savoir sur les conditions de navigation pour arriver au port balisage, veille radio VHF, vitesse limite, et signalisation. Douanes, vente hors-taxes et animaux domestiquesFormalités d’entrée selon les bateaux, réglementation sur les ventes détaxées, et règles d’admission des bateaux ayant un animal domestique à bord. DestinationsEn savoir plus sur les destinations aisément accessibles et leur distance depuis Jersey.

Audépart de Granville naviguer dans la Baie du Mont Saint Michel et le Golfe Normano-Breton et les Iles Anglo-Normandes. Choisissez types de croisière, dates, taille , type de bateau, taille d’équipage, destinations, durée de croisières Croisières individuelles. Selon les dates choisies vous verrez le nombre de places disponibles CEPENDANT, le cas échéant, contactez nous par

Même ceux qui ont reçu leur autorisation se sentent concernés. De g. à dr. Guillaume Lenoir, Rodrigue Sevalle, Guy Montreuil, Ludovic Lazaro, Hermann Outrequin, Arthur Heuze, Marcel Heuze, Jean-Philippe Heuze, Hugo Malenfant, Émile Anfray, Lucas Beauhaire, Charles Lourdais, Kylian Depincé et Grégory Guenon. © Pascal Rostain / Paris Match 04/12/2021 à 0648, Mis à jour le 04/12/2021 à 0741 Sur la côte normande, la colère des pêcheurs gronde contre la lâcheté de Paris face aux Anglais qui leur refusent des licences. Alors, des Hauts-de-France à la Bretagne, souffle le vent de la révolte. Pour venir à la rescousse, l’écrivain Yann Queffélec trempe sa plume dans une rage salutaire. On s’est écrasé. Paris s’est écrasé. L’Histoire de France s’est écrasée. Elle en a l’habitude, vous me direz, face à l’Anglais. Les Bretons n’avaient guère d’illusions, les Normands non plus. Je vous parle des marins pêcheurs, de nos marins pêcheurs bretons et normands feintés à mort par les rosbifs », aux dernières nouvelles, lâchés par les baratineurs de l’État français. Aucune reculade, aucun renoncement », jurent ces derniers. La farce !… On prenait librement la mer on vous reprend la mer. On avait des licences de pêche au large on ne les a plus. On vous garantissait la Lune, un Boris Johnson envoûté par Macron, et c’est un naufrage indemnisé qui vous est servi en coulisse. Tu en penses quoi, père Noël ? My fucking Christmas daddy ?Lire aussi Avec les pêcheurs de l'extrême en mer d'Iroise La suite après cette publicité Disons les choses… Ils sont de Lorient, du Guilvinec, de Roscoff, Granville, Port-en-Bessin, Fécamp, etc. Deux cents navires concernés au bas mot. Ils montaient pêcher au nom du droit coutumier dans les eaux anglaises, un droit validé par des accords, du tope là ! Et, donnant-donnant, l’Anglais venait crier sa pêche à lui sur les criées françaises, un pactole pour Sa Majesté. On s’entendait bien sur mer, bien sur les marchés, moins bien à Bruxelles où l’Anglais tapait du poing sur la table et le Français, chocking, ripostait d’une voix sucrée de pétoche Flibusterie ! » La mer les rapprochait, la mer les divisait, ces mers du Nord dont l’Anglais dit qu’elles sont à lui, rien qu’à lui, le Français qu’elles sont les Bretagne légendaires, arthuriennes, le trésor immémorial des deux peuples. Mais l’un rêve, l’autre cogne, ça change l’histoire des nations. La suite après cette publicité Le Brexit tombe en 2019, Albion durcit la note. A cat is a cat a frog is a frog. » Chacun chez soi. Chacun ses coquilles, ses encornets, ses homards, ses cabillauds, chacun son jardin sous la mer avec ou sans gibier. Nous fermons la baraque, à savoir l’océan de Granville à l’Écosse via les Anglo-Normandes et la mer du Nord. Et bien sûr nous gardons vos criées, vos euros, au nom de votre incapacité à les garder pour vous. Qu’iriez-vous crier, d’ailleurs, en l’absence de poissons ? Tirez donc les premiers, si vous n’êtes pas seule réponse du gouvernement français saborder notre propre flottePas contents du tout, les durs à cuire de la diplomatie française au couteau. Prêts à en découdre, au besoin on va les priver de foie gras, de champagne, d’électricité, leur coller des prunes », on va leur montrer nos gendarmes, à ces flibustiers, leur confisquer petit papa Noël… De quoi trembler, non ? Revoir sa copie ? Nos durs à cuire s’appellent Annick Girardin, ministre de la Mer, et Michel Barnier, négociateur en chef du Brexit pour l’Union européenne » ça ronfle, ça va barder !. Les Anglais, Annick Girardin les connaît bien. Députée de Saint-Pierre-et-Miquelon, elle a vu là-bas la perfide Albion terrasser la pêche française, locale et métropolitaine. Et lorsqu’il s’est agi d’obtenir une extension de plateau continental », elle a dit amen » au premier refus canadien. Pendant ce temps-là chalutiers détruits, familles à la casse, grands ports de pêche en détresse, etc. Michel Barnier, un vieux de la vieille, n’est pas moins fin connaisseur de l’âme anglaise. Ministre de la pêche de François Fillon, en 2007, il montait au créneau, hardi Gaulois ! Envoyé à Bruxelles exiger des Anglais une rallonge de quotas, il avait sorti son œil le plus va-t-en-guerre et son meilleur gel coiffant. Que croyez-vous qu’il arriva ?… Rien, il n’arriva rien. Trop français, trop anglais. Désolé, amis gens de mer, on vous indemnisera. La suite après cette publicité La suite après cette publicité Pas de larmes parce qu’il est un homme et un marin », assure Malo, 20 ans. Mais il a les mots C’est à pleurer. » Et les gestes l’incendie de cette maquette préfigure la perte de son bateau. © Pascal Rostain / Paris Match Voilà qui sont les deux inflexibles cadors chargés de rouvrir la Manche et la mer Celtique aux marins pêcheurs de l’Ouest et du Nord. Maintenant écoutez l’impuissante Annick Girardin déclarer à France Inter, la bouche en cœur Si nous ne devions pas obtenir de Londres ces licences, je me dois d’anticiper et d’envisager une solution pour chacun. » Un amour de solution à vomir, dévoilée aux Assises de la pêche le 18 novembre à Saint-Pol-de-Léon J’ai prévu pour les bateaux restant à quai un plan de sortie de flotte financée… » Vous ne saisissez pas ? Cela veut dire plan massif de destruction des navires aux frais du citoyen, plan massif de destruction des familles encore une fois, effondrement pur et simple de la pêche normande et bretonne, et musée Grévin pour une fibre maritime qui perdurait contre vents et Paris. Nous n’avons pas capitulé », s’enorgueillit la ministre en fin d’émission. On ne capitule jamais, voyons, face à l’Anglais. Trafalgar ou Waterloo, on assume avec panache ! Et la fête de Kersauson On n’a pas le droit d’humilier les gens de mer. Casser des bateaux, indemniser, qu’est-ce que ça veut dire?»Réaction des marins pêcheurs ? Violente ! Ils partent à cinquante bateaux bloquer le port de Saint-Hélier Jersey. Pas forcément pour se battre, mais pour se donner un moyen de pression sur la Couronne. Aucun ferry ne pouvant plus sortir ni rentrer, aucun bateau de pêche circuler, aucun plaisancier caboter, les Anglais finiraient par lâcher du lest, en avant ! Les marins français allaient pacifiquement s’emparer du port anglo-normand quand un député s’en mêla à la VHF, avec pour ordre d’en haut de ne pas gêner les ferrys anglais. Risque de collision, risque d’embrouillamini diplomatique, risque de pretium doloris aux frais des casseurs, etc. Un fiasco mortifiant, cette expédition navale punitive. Des ronds dans l’eau pour rien – pour se ridiculiser en beauté sous l’œil des Anglo-Normands ahuris par ce ballet nautique sans queue ni tête. Loin d’appuyer l’action des pêcheurs dans leur droit, la politique les avait désavoués, menacés. Et l’essence, alors, qui la paye ? Le temps perdu ? Et l’honneur ?Quand on parle aux pêcheurs, ils n’ont pas de mots trop durs pour dézinguer Anglais et Français. Hermann, 43 ans, marin depuis l’âge de 16 ans, s’est vu refuser sa licence en baie de Granville, zone anglaise. […] Par ces enc…, oui ! J’ai commencé par la compagnie Bourbon, seize ans d’Afrique, et sans mentir, j’ai plus d’un tour d’hélice au cul. Il y a cinq ans j’ai monté ma boîte avec la “Santa Clara”, mon coquillier. J’allais à la praire, à la saint-jacques, j’avais ma licence pour la baie, je m’en sortais… Mais maintenant ? Demain ? C’est fini ?… C’est baisé parce que je n’ai pas d’antériorité pour les années 2017 et 2018 ?… On doit brûler son bateau parce qu’il est récent ?… C’est ça qu’ils disent, nos ministres ? Ils ont peur des Anglais, monsieur, ils ont baissé leur froc. Même les gendarmes ont peur, c’est grave. L’autre jour ils vont pour inspecter un bateau anglais en infraction. Vous monterez pas à bord, leur dit le patron. Eh bien, ils sont pas montés… Nous, oui, nous ils montent à bord, des cow-boys. Pas intérêt à rigoler ou c’est outrage à la force publique, tribunal… Avec mes collègues on est décidé à se battre, monsieur. Et s’il y a des actions à faire, on les fera… C’est pas en allant faire les guignols devant Jersey qu’on aura des licences, c’est sûr. Vous savez ce qu’on nous a dit, vendredi dernier ?… Dépêchez-vous, les gars, il y a manif sur la plage, chacun pourra s’exprimer. Qu’est-ce que ça peut leur foutre, aux Anglais, qu’on aille gueuler sur la plage et les traiter d’enc… devant les goélands qui s’en foutent aussi ! Et qu’on détruise nos bateaux à cause d’eux !… J’veux pas détruire mon bateau, monsieur… J’veux pas qu’on m’indemnise comme un moins rien que rien. C’est la mer, moi, que j’veux, la mer… J’veux aller gagner ma croûte en mer et nourrir les autres… Tout ce qu’ils veulent, les Anglais, c’est garder la mer pour eux !… Tintin que j’leur dis ! » À Boulogne-sur-Mer, le plus grand port de pêche français. Une cinquantaine de bateaux de la zone n’ont pas reçu leur licence. Celui-ci en font partie. © Pascal Rostain / Paris Match Malo, 20 ans, s’est payé sur ses deniers futurs un bateau de pêche de 8 mètres Fury ». Ce n’est pas virtuel, et l’emprunt qu’il s’est collé sur le dos ne l’est pas non plus. Et pas davantage le refus de licence décerné par les Anglais au motif qu’il n’a pas assez d’antériorité à son actif. Détruire mon bateau ? Plutôt mourir ! » Il va essayer d’attraper le homard côté français en espérant des jours meilleurs. Le homard et la moussette », cette araignée de mer ni mâle ni femelle, un délice. Franchement, nos ministres !… Et ils disent qu’ils vont aider les jeunes ! Mais comment ils osent dire ça ? Comment ils osent se regarder dans la glace et nous regarder après ? On n’a pas peur des Anglais, nous, pas comme eux ! La seule chose qu’on demande, c’est la mer. Été comme hiver, on y va, et les risques on les prend tous les jours… On se battra pour la mer, monsieur, pour nos bateaux, nos métiers… On se battra pour obliger les ministres à se battre pour nous. » Vingt ans, Malo ! Un moral de vieux sage ! Une poésie d’adolescent prêt à dévorer l’horizon. Et la rage de réussir envers et contre la médiocrité des puissants, dans une époque où il devient banal de baisser les un marin, c’est un crève-cœur, une offense à l’océan et à ses aïeuxJ’en parle à Olivier de Kersauson, de passage en Europe. La situation des marins pêcheurs le met hors de lui. Les Anglais, on les connaît !… Un parfait mépris du monde entier, tout pour ma gueule, on le sait. Mais les Français, bon Dieu ! Comment Barnier a-t-il pu dire un jour que dans son Brexit, la pêche ne serait pas une variable d’ajustement » ! Il a dit ça ! Comment peut-on dire ça pour en arriver là, à la casse générale ! Et se vouloir président ! On n’a que des devoirs envers les citoyens, quand on est au pouvoir, aucun droit ! On n’a pas le droit d’humilier les gens comme on le fait, qui plus est les gens de mer. “Casser des bateaux”, “indemniser”, mais qu’est-ce que ça veut dire ? Avec quel argent, d’ailleurs ? Ils le prennent où ? Dans nos poches ? Je veux que mon argent serve à financer des écoles, des crèches, des handicapés, ce qui ne va pas… Je ne veux pas que mon argent serve à financer leurs lâchetés… Mes impôts ? L’argent des lâches ?… Jamais de la vie !… Et puis qu’ils arrêtent de casser les bateaux, merde ! »Casser un bateau, pour un ministre incapable de casser l’Anglais, c’est une sortie de flotte », un trait de plume. Pour la mer, c’est toute une économie qui s’éteint, qui vivait du bateau le carénage, le moteur, les hélices, les circuits électriques, le matériel, etc. C’est aussi beaucoup d’argent perdu pour l’État. Pour le marin c’est un crève-cœur, une mort violente, une offense à l’océan et à ses aïeux. C’est désespérant de casser un bateau en guise de solution. C’est casser le plus vieux symbole du sauvetage universel et du retour sain et sauf à l’avenir enfin casser le lien direct avec le mystère des choses, mystère dont l’homme n’a jamais eu tant besoin, damned ! Ces jours-ci, pour croire à la vérité. Ledifférend de 2021 à Jersey est un différend entre le bailliage de Jersey (soutenu par le Royaume-Uni) et la France au sujet de l'octroi de permis par le gouvernement de Jersey aux bateaux de pêche français de pêcher dans ses eaux territoriales. Le 5 mai 2021, le Royaume-Uni a envoyé deux patrouilleurs à Jersey en réponse aux menaces des pêcheurs français de bloquer Conditions d'utilisation du formulaire de contact Les informations recueillies via le site Jeanneau ci-après désigné le Site » ont vocation à être traitées par SPBI service communication JEANNEAU, responsable de traitement, aux fins de traitement de votre demande de renseignement, ainsi que pour mieux vous connaitre. Les informations signalées d'un astérisque sont obligatoires pour la gestion de vos demandes. 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Accostezen coeur de ville. Très bien abrité, le port de plaisance de Granville est situé au coeur d’une des plus belles zones de plaisance de France. D’un côté, l’archipel des îles Chausey avec ses 52 îles et 365 îlots, de l’autre, les îles anglo-normandes : Jersey, Guernesey, Sercq et Aurigny. Le bassin est équipé de 1 000 places à flot sur pontons, dont une centaine pour

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Un archipel bien discretVenir depuis la Bretagne l’itinéraire le plus courtOù mouiller aux Scilly ?Légendes celtiques, vieilles pierres et plantes exotiques Les Îles Scilly sont un archipel britannique très apprécié des plaisanciers anglais, irlandais, mais aussi de nombreux français, dont les bretons et les ce coin de paradis du bout du monde. Les Îles Scilly sont un archipel anglais très apprécié des plaisanciers bretons et petit coin de paradis est est situé à 25 miles nautiques, au sud-ouest des Cornouailles britanniques. Petite précision, ne confondez pas avec la Cornouaille bretonne , située au sud ouest de la Bretagne. Les Îles Scilly sont une destination de rêve tant pour navigateurs confirmés que novices. Elles représentent l’aventure, à portée d’étrave, en allant vers le bout du monde, rencontrer une autre culture dans un environnement sauvage et paradisiaque. Un archipel bien discret Les Scilly constituent un archipel de 145 îles pour une superficie de 16,5 km² en mer Celtique, dont cinq à peine sont peuplées ! Les îles Scilly sont habitées depuis la préhistoire. On y retrouve d’ailleurs de nombreux sites mégalithiques. St. Mary au centre est l’île la plus connue, avec sa capitale Hugh Town. Tresco, est la deuxième île la plus importante par sa superficie. St. Martin et Bryher se trouvent au nord, St. Agnes enfin, au sud. La population de l’ensemble de l’archipel, en milieu de décennie 2010, ne représentait guère plus de 2 150 résidents permanents, dont 1 600 pour la seule St. Mary. L’archipel est resté longtemps isolé de la Grande Bretagne. C’est seulement au 19eme siècle que les échanges ont été réguliers. Aujourd’hui, les plaisanciers britanniques viennent du sud de l’Angleterre, des ports de Plymouth, Penzance, Falmouth ou, plus à l’est, Portsmouth. Venir depuis la Bretagne l’itinéraire le plus court Si certains amateurs ne rechignent pas à la distance en partant du Cotentin, c’est-à-dire la Normandie, depuis Cherbourg ou Granville, le plus pratique, et rapide, est d’effectuer la traversée de la Manche par la Bretagne. Si vous ne possédez pas de voilier, certaines sociétés proposent des croisières en voilier, aux alentours de 1 200 € la semaine à partir de Brest, distante de 115 milles des Sorlingues, ancien nom français de l’archipel. Même chose pour Roscoff. La station balnéaire de Perros-Guirec est un peu plus éloignée, comptez 130 milles. Retrouvez nos conseils pour louer un voilier ici. Si ce n’est pas la destination finale de votre croisière, il est tout à fait possible d’envisager une escale aux îles Scilly avant, par exemple, de caboter le long de la côte sud des Cornouailles, en remontant vers le cap Lizard. Quel que soit votre choix, n’oubliez pas qu’il faut envisager une vingtaine d’heures pour le trajet aller. Les plus chevronnés, bien équipés et au fait des ficelles du métier, opteront peut-être pour la navigation de nuit si les conditions météo le permettent… Où mouiller aux Scilly ? Trouver un lieu en vue de mouiller aux Scilly en toute sécurité, n’est pas une chose bien compliquée. L’archipel des Scilly est renommé pour ses nombreuses baies et anses, plages de sable blanc fin comme Pentle et Apple Tree sur Tresco, Higher Town sur St. Martin, qui est aussi un paradis pour kitesurfers, pêcheurs et randonneurs. D’autres activités, telles ramassage de coquillages, paddle la planche utilisée est plus longue qu’en surf, le rameur se tient debout, pagaie en main ou encore plongée, sont également possibles. Nous vous suggérons ainsi Old Grimsby, très calme car bien abrité avec peu de profondeur, au nord-est de Tresco. Ou sur la côte opposée donnant vers Bryher, car les deux îles sont très rapprochées. copie OPenSeaMaps Et qui sait, peut-être aurez-vous la chance d’assister à des régates et autres courses de gigs », ces petites barques à fond plat qui escortaient autrefois de plus grosses embarcations jusqu’à l’entrée au port, afin de les protéger des récifs présents en mer ? Légendes celtiques, vieilles pierres et plantes exotiques La faune est très riche avec la présence de dauphins, marsouins et autres colonies de phoques, peu farouches. La teinte des eaux évoque les lagons tropicaux mais ne vous y fiez pas, la température extérieure vous le rappellera ! Pour le volet ornithologique, citons notamment la présence des biens nommés puffins des anglais, les Scilly hébergeant 75% de la population mondiale de l’ conditions naturelles avantageuses sont permises par un microclimat. Les îles sont en effet baignées par le gulf-stream, courant marin réchauffant les côtes. Si les vents peuvent être violents gel et neige y sont rares, ce qui a favorisé la floriculture. Notamment la production de jonquilles, l’une des ressources économiques de l’archipel. Les autres plantes ne sont pas en reste et prospèrent. Allez donc faire un tour à l’Abbey Garden de Tresco, aménagé à partir de 1834 par Augustus Smith. Vous y observerez plus de 20 000 espèces exotiques provenant de 80 pays, Amérique latine et bien sûr, anciennes colonies britanniques africaines, Océanie… Un musée expose aussi les figures de proue de tous les navires échoués en ces lieux. De nombreux artistes, peintres, sculpteurs, potiers ou encore photographes, qui y puisent une forte inspiration, ont élu domicile dans les parages. On recense au total près de 250 monuments en tous genres, dont plusieurs dizaines de tombes mégalithiques remontant à l’âge de bronze. Elles sont datées de plus de 30 siècles ! L’archipel passe sous domination et couronne anglaise vers le Xe s. C’est aussi l’époque où, mis à sac, il est durement éprouvé lors d’expéditions Vikings. Plus tard apparaissent les incontournables châteaux, ici les enceintes Cromwell et du roi Charles à Tresco. Vous croiserez enfin sur votre route des chapelles en ruines, et autant de légendes mêlant les aventures de Merlin l’Enchanteur et le roi Arthur, autour d’une supposée terre mythique baptisée Lyonesse »…

L6mn. 480 168 306 188 191 69 119 474 243

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