CommandezMug 4e Régiment d'HélicoptÚres des Forces Spéciales France # 32390. Choisir vos préférences en matiÚre de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d

Chaque annĂ©e, le Sofins est le rendez-vous des spĂ©cialistes de forces spĂ©ciales. Militaires et start-up s'y retrouvent - MinarmDĂ©but avril, les spĂ©cialistes des technologies liĂ©es aux forces spĂ©ciales se retrouvent au Sofins, un sĂ©minaire qui se tient en Gironde. A cette occasion, le vice-amiral Isnard, patron du Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales COS nous a confiĂ© comment l'innovation est au coeur de la mission de ces troupes d'Ă©lites."Faire autrement". La devise en dit long sur la mission du Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales que l’on connait mieux sous son acronyme, COS. Elle exprime clairement que pour rĂ©ussir leur mission, le COS doit innover en permanence. Cette organisation est gĂ©nĂ©ralement assez discrĂšte, mais Ă  l’occasion du Sofins Special operations forces Innovation network, un sĂ©minaire qui se tient en Gironde dĂ©but avril, le vice-amiral Laurent Isnard, commandant du COS, a donnĂ© un aperçu des innovations utilisĂ©es par ses hommes sur le terrain."L’innovation est dans notre ADN depuis la crĂ©ation du COS en 1992", a indiquĂ© ce commando de marine lors d’une confĂ©rence organisĂ©e par le ministĂšre des ArmĂ©es. Les technologiques "nous donnent une agilitĂ© tactique pour surprendre l’ennemi". Nous travaillons directement avec des entreprises spĂ©cialisĂ©es dont des startups pour dĂ©veloppĂ©s les outils dont nous avons besoin. "Nous leur expliquons nos besoins pour mettre au point des outils qui seront validĂ©s avec responsables des trois armes", indique le patron du COS. Ces innovations sont diverses. Il y a des armes, du matĂ©riel de communication, d’observation, de camouflage ou de dĂ©placement. Mais le COS utilise aussi des logiciels pour espionner, crypter des donnĂ©es, gĂ©olocaliser l’ennemi et analyser des bases de projets financĂ©s chaque annĂ©eLe COS dispose d’un budget propre qui reste secret. "Si je rĂ©vĂšle ce montant, les fournisseurs sauront de combien je dispose", rĂ©pond-il le sourire aux lĂšvres. Il prĂ©cisera seulement que 60 projets sont financĂ©s chaque annĂ©e sans dire de quoi il s’agit, ni avec quelles commandant Isnard a tout de mĂȘme acceptĂ© de lĂącher quelques informations, comme cette lunette pour fusil longue distance mise au point avec Safran. "Elle permet aux tireurs d’élite d’atteindre une cible en mouvement de trĂšs loin", indique l’officier qui a fait aussi une rĂ©vĂ©lation. Le COS n’hĂ©site pas Ă  s’inspirer de l’ennemi qui selon le commandant Isnard "a de bonnes idĂ©es". Il cite entre autre ou la cape de Daech qui permet de ne pas ĂȘtre repĂ©rĂ©e la nuit mĂȘme avec des lunettes thermiques. "Nos lunettes repĂšrent la chaleur dĂ©gagĂ©e par le corps, mais avec cette couverture de survie, elle se diffuse et ne permet plus de dĂ©tecter les combattants".Comme le signale l’amiral Isnard, tous les moyens sont bons pour "faire autrement" afin de remplir les missions. Tous, ou presque. "A la diffĂ©rence des terroristes, nous sommes soumis au droit de la guerre", rappelle le patron des forces savoir ou presque sur le cosComme l'explique le ministĂšre des ArmĂ©es, le COS est "une organisation qui commande les opĂ©rations et fĂ©dĂšre les forces spĂ©ciales". Créé en 1992, il se compose de 4400 militaires dont 400 rĂ©servistes qui interviennent dans des missions pĂ©rilleuses et discrĂštes. Il se compose d'unitĂ©s des trois armes- ArmĂ©e de Terre 1er rĂ©giment parachutiste d'infanterie de marine RPIMa, 4e rĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales RHFS et 13e rĂ©giment de dragons parachutistes RDP- ArmĂ©e de l'Air commando parachutiste de l'air n°10 CPA 10, escadron d'hĂ©licoptĂšres 1/67 PyrĂ©nĂ©es et escadron de transport 3/61 Poitou- Marine commandos d'assaut, d'appui et nageurs de combat TrĂ©pel, Jaubert, de Montfort, de Penfentenyo, Hubert, Kieffer et Ponchardier.

DesĂ©quipages du 4e RĂ©giment d’hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales seront impliquĂ©s Ă  toutes les Ă©tapes de qualification. Ce contrat concerne le [] Une prĂ©sence française remarquĂ©e au Salon SOFEX 2018 en Jordanie. Mai 11, 2018 by François Category: ActualitĂ©s du GICAT 0 comments Tags: Export, Forces spĂ©ciales, GICAT, Jordanie, Salon, SOFEX. Du 7 au 10 mai PubliĂ© le 11/05/2011 Ă  0h00 Le trĂšs discret 4e RĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales se fait connaĂźtre. Un peu du voile classĂ© secret dĂ©fense » qui recouvre les activitĂ©s militaires du 4e RĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres des Forces spĂ©ciales de Pau a Ă©tĂ© levĂ©, hier. À l'initiative du colonel Yann Poincignon 1. Le commandant du site a pris ses fonctions Ă  la tĂȘte de cette unitĂ© volontairement discrĂšte l'Ă©tĂ© dernier. Avec la volontĂ© d'ouvrir un peu plus le rĂ©giment, qui intervient partout Ă  travers le monde en soutien des armĂ©es de France, sur la vie locale. Tout au moins, de mieux le faire connaĂźtre en dissipant l'amalgame entre forces spĂ©ciales » et clandestines ». Le 4e » est un rĂ©giment prĂ©sent sur la plateforme militaire de Pau, prĂšs du 5e RĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres de combat de Pau. Il est intĂ©grĂ© Ă  la base de dĂ©fense de Pau, mais dĂ©pend, pour l'emploi, du Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales. Il fait partie de la brigade des Forces spĂ©ciales armĂ©e de terre basĂ©e Ă  Pau, oĂč se trouve Ă©galement le 1er RĂ©giment de parachutistes d'infanterie de marine de mission du rĂ©giment est de fournir un appui aux autres unitĂ©s du commandement des opĂ©rations spĂ©ciales rĂ©guliĂšrement engagĂ©es dans des opĂ©rations sensibles du type libĂ©ration d'otages ou Ă©vacuation de ressortissants, en particulier en Afrique. Le colonel Poincignon n'en dira pas plus sur ces activitĂ©s. C'est secret dĂ©fense », explique le militaire. Mais le 4e » est le rĂ©giment d'hĂ©licos dĂ©diĂ© aux Forces spĂ©ciales, il n'y a pas beaucoup d'Ă©quivalent dans le monde ». Alors, depuis sa crĂ©ation, on a participĂ© Ă  pratiquement toutes les missions. » Une crĂ©ation qui remonte Ă  s'agissait alors du Daos, le dĂ©tachement Alat aviation lĂ©gĂšre de l'armĂ©e de terre des opĂ©rations spĂ©ciales. Les changements d'appellations ont contribuĂ© Ă  entretenir le flou autour d'un rĂ©giment qui se 4e RHFS regroupe aujourd'hui 271 personnes 201 Ă  Pau dont 9 civils, 70 Ă  Villacoublay qui interviennent pour le GIGN groupe d'intervention de la gendarmerie nationale. Une petite partie vient de l'armĂ©e de l'air. Le nombre d'escadrilles est passĂ© d'une Ă  six, dont quatre Ă  Pau. Et le bestiaire » maison s'est de dĂ©part Ă©tait composĂ©e de 10 hĂ©licos Cougar, trĂšs puissants, surtout vouĂ©s au transport de troupes. Puis sont arrivĂ©s des modĂšles Gazelle utiles Ă  l'appui feu, le soutien armĂ© des soldats au sol. Le Carcaral, qui est un lynx du dĂ©sert, est arrivĂ© voilĂ  cinq ans, dans le mĂȘme registre que le Cougar, plus puissant et deux Ă©quipages et l'appareil encore prĂ©sents Ă  la BA120 de Cazaux viendront complĂ©ter l'effectif dans l' rĂ©giment recevra d'ici l'Ă©tĂ© son quatriĂšme Tigre C 665, l'hĂ©licoptĂšre de combat de derniĂšre gĂ©nĂ©ration d' y aura donc d'ici peu un total de quatre Tigre, 14 Gazelle, neuf Carcaral, sept Cougar, et sept engins, Ă  l'exception du Tigre, dont les soldats palois ont dĂ» adapter l'Ă©quipement et les usages Ă  leurs besoins spĂ©cifiques, au fil des 4e » recrute chaque annĂ©e une cinquantaine de nouveaux soldats, volontaires mais triĂ©s sur le volet, au sein de l'armĂ©e de terre. Beaucoup de commandants de bord, qui commenceront par ĂȘtre pilote et voler, ont environ 200 heures par an - bien plus que dans n'importe quelle autre unitĂ© avant d'ĂȘtre des pilotes, ils sont tous des soldats aguerris, expĂ©rimentĂ©s, qui maĂźtrisent parfaitement les fondamentaux du combat », souligne le colonel personnels qui ne seront projetables en mission - toujours Ă  l'Ă©tranger - qu'aprĂšs six Ă  douze mois de formation. Ceci, au prix d'un entraĂźnement constant. Et d'une disponibilitĂ© 4e, on peut partir en mission pour plusieurs mois du jour au lendemain. 1 Pour des raisons de sĂ©curitĂ© touchant Ă  la DĂ©fense nationale, le colonel a souhaitĂ© relire cet article avant publication et y a apportĂ© une modification concernant les opĂ©rations spĂ©ciales. Ce que Sud Ouest» a acceptĂ© mais a souhaitĂ© mentionner par honnĂȘtetĂ© vis-Ă -vis des lecteurs.

TheArmy Special Forces Brigade (French language: Brigade des Forces Spéciales Terre, BFST) is the French Army's special forces unit. It is based in Pau, Pyrénées-Atlantiques. The BFST is the heir of the Groupement Spécial Autonome (GSA, independent special grouping) created in 1997 and then commanded the 1er RPIMa and a special operations flight belonging

Nos forces spĂ©ciales conserveront leurs Gazelle au moins jusqu’en 2030 !L’information ne surprendra pas forcĂ©ment grand-monde. Alors que le ministĂšre des ArmĂ©es se prĂ©pare le contrat de sĂ©rie des Airbus Helicopters H160M GuĂ©pard la partie liĂ©e au remplacement des vĂ©nĂ©rables AĂ©rospatiale Gazelle laisse entrevoir des trous dans la raquette. De maniĂšre assez surprenante le parent pauvre de ce contrat pourrait s’avĂ©rer ĂȘtre le 4e RĂ©giment d’HĂ©licoptĂšres des Forces SpĂ©ciales. D’ores et dĂ©jĂ  il est avĂ©rĂ© que cette unitĂ© d’élite de l’Aviation LĂ©gĂšre de l’ArmĂ©e de Terre conservera ses monoturbines encore au moins neuf ou dix on pense au 4e RĂ©giment d’HĂ©licoptĂšres des Forces SpĂ©ciales la premiĂšre image qui vient c’est forcĂ©ment les hĂ©licoptĂšres de manƓuvres Eurocopter EC725 Caracal et Cougar ModernisĂ©s qui viennent en tĂȘte. Ces deux modĂšles d’hĂ©licoptĂšres sont vĂ©ritablement iconique de l’unitĂ©. Pourtant l’une des machines les plus importantes reste la petite AĂ©rospatiale Cesont les forces spĂ©ciales dont le 4e rĂ©giment d’hĂ©licoptĂšres, Ă©quipĂ© d’une quarantaine d’appareils, stationne en BĂ©arn, face au 5e RHC Ă  Pau-Uzein. Forte de 400 hommes, cette unitĂ©, qui apporte la contribution de l’armĂ©e de terre aux « opĂ©rations spĂ©ciales » menĂ©es par la France Ă  travers le monde, vit naturellement dans l’ombre.
Cet article date de plus de sept ans. Le ministĂšre de la DĂ©fense l'a annoncĂ© dimanche 30 novembre. Il s'agit de Samir Bajja, 38 ans, nĂ© Ă  NĂźmes et sous-officier au 4e rĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales de l'ArmĂ©e de terre Article rĂ©digĂ© par PubliĂ© le 30/11/2014 1238 Mis Ă  jour le 30/11/2014 1304 Temps de lecture 1 min. Un soldat français des forces spĂ©ciales est mort samedi dans un accident d'hĂ©licoptĂšre survenu lors d'un vol d'entraĂźnement au Burkina Faso, annonce le ministĂšre de la DĂ©fense dimanche 30 novembre. Il s'agit de Samir Bajja, 38 ans, nĂ© Ă  NĂźmes et sous-officier au 4e rĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales de l'ArmĂ©e de terre, prĂ©cise l'entourage du ministre Jean-Yves Le Drian dans un communiquĂ©. Le sous-officier se trouvait Ă  bord d'un hĂ©licoptĂšre Caracal pour un vol nocturne d'entraĂźnement lorsque l'appareil s'est Ă©crasĂ©. Il a Ă©tĂ© tuĂ© sur le coup, deux autres membres de l'Ă©quipage ont Ă©tĂ© Samir Bajja, engagĂ© depuis 16 ans dans l'armĂ©e, avait notamment servi en CĂŽte d'Ivoire, en Afghanistan, au Tchad et au le deuxiĂšme soldat français Ă  mourir au Sahel depuis le lancement, le 1er aoĂ»t dernier, de l'opĂ©ration Barkhane contre les groupes armĂ©s terroristes dans la bande sahĂ©lo-saharienne. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Afrique Vu d'Europe Franceinfo sĂ©lectionne chaque jour des contenus issus de mĂ©dias audiovisuels publics europĂ©ens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiĂ©s en anglais ou en français.
Laministre des Armées Florence Parly était à Pau ce jeudi 13 juin pour faire le point sur la lutte contre le terrorisme. Elle a félicité les forces spéciales militaires, dont un

ArmĂ©es Florence Parly veut mobiliser des forces spĂ©ciales europĂ©ennes pour aider l’armĂ©e malienne. Mais rien n’est encore prĂȘt Les faits - Le Premier ministre Edouard Philippe a ouvert, ce lundi 18 novembre, le sixiĂšme Forum international de Dakar sur la paix et la sĂ©curitĂ© en Afrique, aux cĂŽtĂ©s du prĂ©sident sĂ©nĂ©galais Macky Sall, en prĂ©sence du ministre des affaires Ă©trangĂšres Jean-Yves Le Drian et de la ministre des armĂ©es Florence Parly. La situation sĂ©curitaire dĂ©gradĂ©e, notamment au Mali et au Burkina Faso, dominent les travaux. Face Ă  la dĂ©gradation de la situation au Mali, le ministĂšre français des ArmĂ©es vient d’inventer une nouvelle force militaire, baptisĂ©e Takouba, qui s’ajoutera aux six dĂ©jĂ  prĂ©sentes sur le terrain. Ce sera donc la septiĂšme
 Outre les Forces armĂ©es maliennes FAMa, on compte en effet l’opĂ©ration française Barkhane 4 500 hommes, l’opĂ©ration Sabre spĂ©cifique au Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales quelques centaines, les casques bleus de la Minusma 15 000 hommes, l’EUTM-Mali, une mission europĂ©enne de formation de l’armĂ©e malienne 600 hommes et la Force conjointe du G5-Sahel de l’ordre de 5 000 hommes formĂ©es par les cinq armĂ©es de la cela ne suffit pas pour gagner la guerre contre les Groupes armĂ©s terroristes » GAT. S’ils ne sont que quelques centaines, ils bĂ©nĂ©ficient d’un terrain local favorable, fait de misĂšre, de trafics et de tensions communautaires. Emmanuel Macron cherche en vain une solution et il entend reprĂ©ciser » bientĂŽt le rĂŽle de la force française Barkhane. SuccĂ©dant Ă  Serval », les militaires français ont perdu 31 des leurs au Mali depuis janvier 2013 et le coĂ»t de l’opĂ©ration s’élĂšve Ă  environ 700 millions par an, soit 2 millions par De passage sur la base française de Gao, le 5 novembre, la ministre des armĂ©es Florence Parly a annoncĂ© la crĂ©ation d’une nouvelle unitĂ© » europĂ©enne pour renforcer les capacitĂ©s militaires maliennes. Elle prendra le nom de Takouba », en rĂ©fĂ©rence Ă  une arme traditionnelle dans cette rĂ©gion d’Afrique. Ce sabre armera les forces armĂ©es maliennes sur le chemin de l’autonomie et de la rĂ©silience », a promis la ministre. Sabre comme l’opĂ©ration spĂ©ciale française au Sahel
 Selon Florence Parly, il s’agira d’ une unitĂ© de forces spĂ©ciales europĂ©enne » qui transmettront leur savoir-faire d’exception aux militaires maliens ». La ministre avait dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© cette initiative en juin, lors d’une visite au 4e rĂ©giment d’hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales Ă  Pau. Takouba » sera lancĂ© dĂšs 2020 », ajoutait la ministre. Sauf que rien n’est prĂȘt et encore moins dĂ©cidĂ©. Nous sommes trĂšs en amont, mais c’est bien emmanchĂ© », indiquent des sources militaires, qui parlent d’accroĂźtre l’offre de service europĂ©enne ». Avec qui ? Pour l’instant, on n’en sait rien. Nous en sommes aux pourparlers et aux tractations », ajoute la mĂȘme source. Une dizaine de pays europĂ©ens ont Ă©tĂ© approchĂ©s, mais seule la petite Estonie semble avoir donnĂ© un accord ferme. Les Estoniens ont dĂ©jĂ  dĂ©pĂȘchĂ© une centaine d’hommes au sein de Barkhane, essentiellement pour des missions de protection. Parmi les pays citĂ©s, on compte la Finlande, l’Autriche, le Danemark, la RĂ©publique TchĂšque, le Portugal, l’Espagne ou la SuĂšde. Certains sont intĂ©ressĂ©s et d’autres se sont dĂ©jĂ  retirĂ©s », note une source proche du dossier. Les rĂ©centes dĂ©clarations du prĂ©sident Macron sur la mort cĂ©rĂ©brale de l’Otan », qui ont consternĂ© plusieurs capitales, ne facilitent pas les grande inconnue est Ă©videmment la participation Ă©ventuelle de l’Allemagne. La ministre de la DĂ©fense, Annegret Kramp-Karrenbauer, en difficultĂ© politique, semble trĂšs allante sur les engagements extĂ©rieurs de son pays, mais le pouvoir de dĂ©cision ne lui appartient pas. La possibilitĂ© d’une participation britannique est Ă©voquĂ©e – la Royal Air Force mettant dĂ©jĂ  trois hĂ©licoptĂšres lourds Chinook Ă  disposition de Barkhane pour des missions de langue. Takouba sera placĂ© au sein de [l’opĂ©ration française] Barkhane » sous la forme d’une CJSOTF, une Combined Joint Special Operations Task Force », comme disent dĂ©sormais les militaires français. Vu de Paris, la participation française devrait surtout concerner l’état-major de Takouba. Cette mission devrait ressembler Ă  ce que l’Otan – dont la France – avait mis en place en Afghanistan sous le nom d’OMLT Operational Mentoring Liaison Team, des dĂ©tachements occidentaux insĂ©rĂ©s dans les forces afghanes. Il s’agit de former, de “mentorer”, d’accompagner l’armĂ©e malienne au combat », indique une source devrait s’agir de plusieurs petites unitĂ©s d’un volume de quelques dizaines d’hommes Ă  chaque fois, capables d’assurer leur sĂ©curitĂ© et leur logistique, au sein de l’armĂ©e malienne. Le problĂšme de la langue reste entier et les Takouba » auront besoin d’interprĂštes. Pas simple pour aller au combat. Au plus tĂŽt, Takouba devrait ĂȘtre pleinement opĂ©rationnel » Ă  l’automne 2020. Car, aprĂšs l’annonce de la ministre Florence Parly, tout ou presque reste Ă  construire.

4thSpecial Forces Helicopter Regiment The 4e Régiment d'HélicoptÚres des Forces Spéciales (English: 4th Special Forces Helicopter Regiment) or 4e RHFS is a special operations unit of the French Army Light Aviation. It is part of the French Army Special Forces Command, therefore of the Special Operations Command. It is based in Pau.

Samir Bajja, un adjudant français des forces spĂ©ciales, nĂ© Ă  NĂźmes, est mort samedi au Burkina Faso dans un accident d'hĂ©licoptĂšre survenu au cours d'un vol d'entraĂźnement, a annoncĂ© dimanche le ministĂšre de la DĂ©fense. Samir Bajja, 38 ans, est nĂ© Ă  NĂźmes et est sous-officier au 4e rĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales de l'ArmĂ©e de terre Ă  Pau. Il se trouvait Ă  bord d'un Caracal EC 725 de transport de troupes qui s'est Ă©crasĂ© vers 21H00 "lors d'un vol nocturne d'entraĂźnement tactique" indique le communiquĂ© du ministĂšre. Une manoeuvre d'entraĂźnement dĂ©licate L'Ă©quipage s'entraĂźnait au "poser poussiĂšre" en zone dĂ©sertique, dans le nord du Burkina Faso, une manoeuvre trĂšs dĂ©licate en raison du nuage de poussiĂšre soulevĂ© Ă  l'approche du sol et du "risque de perte de rĂ©fĂ©rentiel pour le pilote", a prĂ©cisĂ© le porte-parole de l'Ă©tat-major des armĂ©es, le colonel Gilles Jaron. Une enquĂȘte sera conduite par le Bureau enquĂȘtes accidents de la DĂ©fense, a-t-il ajoutĂ©. Le soldat qui a pĂ©ri "appartenait au Service des essences des armĂ©es", a ajoutĂ© le communiquĂ©. Deux autres membres de l'Ă©quipage ont Ă©tĂ© blessĂ©s dans l'accident mais leur pronostic vital n'est pas engagĂ©. Ils ont Ă©tĂ© pris en charge dans une structure chirurgicale de l'armĂ©e française Ă  N'djamena au Tchad et seront Ă©vacuĂ©s prochainement vers la France, a indiquĂ© le colonel Jaron. Le ministre rend hommage au courage de Samir Bajja "Jean-Yves Le Drian salue l'engagement courageux de l'adjudant Samir Bajja", ajoute son entourage. "EngagĂ© dans les armĂ©es depuis 16 ans, il avait notamment servi en CĂŽte d'Ivoire, en Afghanistan, au Tchad et au Mali. Il Ă©tait mĂ©daillĂ© de la Croix de la valeur militaire au titre de son engagement au Mali". Le ministre de la DĂ©fense "adresse ses condolĂ©ances Ă  sa compagne, Ă  ses proches et Ă  ses compagnons d'armes. Il souhaite un prompt rĂ©tablissement aux soldats blessĂ©s". Le deuxiĂšme mort au Sahel depuis aoĂ»t dernier L'adjudant Bajja "est le deuxiĂšme soldat français Ă  mourir au Sahel depuis le lancement de l'opĂ©ration Barkhane le 1er aoĂ»t dernier", note le communiquĂ© officiel. "Cette opĂ©ration vise Ă  lutter, aux cĂŽtĂ©s de nos partenaires burkinabĂ©s, nigĂ©riens, maliens, mauritaniens et tchadiens, contre les groupes armĂ©s terroristes prĂ©sents dans la bande sahĂ©lo-saharienne". Dans le cadre de ce nouveau dispositif Barkhane - soit 3 200 soldats français actuellement, dĂ©ployĂ©s dans cinq pays du Sahel - des forces spĂ©ciales, dotĂ©es d'hĂ©licoptĂšres, sont basĂ©es Ă  Ouagadougou, capitale du Burkina Faso d'oĂč elles rayonnent sur toute la zone.

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4e régiment d hélicoptÚres des forces spéciales